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Coupe du monde 2022 : Les Bleus avec l'Ukraine, la Finlande, la Bosnie et le Kazakhstan en éliminatoires

Kylian Mbappé et les Bleus vont retrouver l’Ukraine en éliminatoires de la Coupe du monde 2022. Kylian Mbappé et les Bleus vont retrouver l’Ukraine en éliminatoires de la Coupe du monde 2022.[Icon Sport]

Un tirage très clément. L'équipe de France a hérité, ce lundi, de l'Ukraine en éliminatoires de la Coupe du monde 2022, organisée au Qatar. Les champions du monde en titre seront également opposés à la Finlande, la Bosnie et le Kazakhstan pour décrocher leur qualification.

Pour se qualifier directement et pouvoir prétendre défendre leur titre dans tout juste deux ans, les Bleus devront terminer à la première place de leur groupe. Une tâche loin d’être insurmontable au regard de sa composition, sans faire offense aux Ukrainiens, Finlandais, Bosniens et Kazakhs. Forts de leur statut, les hommes de Didier Deschamps partiront avec «l'étiquette de favoris» à l’entame de ces qualifications à la fin du mois de mars.

Et même en cas d’accident de parcours imprévu, ils sont assurés de disputer les barrages grâce à leur première place de groupe acquise en Ligue des nations. Il faudrait donc une incroyable déconvenue pour que les coéquipiers d’Hugo Lloris ne soient pas présents au Qatar, même s’ils vont être confrontés à un calendrier particulièrement copieux en 2021 entre ces éliminatoires, l’Euro et le Final 4 de la Ligue des nations.

Mais l’équipe de France a largement les moyens d’éviter d'en passer par là. «La France est favorite, mais il faudra faire le nécessaire sur le terrain», a insisté à l’issue du tirage au sort Didier Deschamps. Le sélectionneur et ses joueurs retrouveront une équipe d’Ukraine qui leur réussi bien pour l'avoir surclassée en match amical en octobre dernier (7-1). Et personne n'a oublié le barrage pour le Mondial 2014 et le mémorable retournement de situation. Battus à l’aller (2-0), les Tricolores avaient arraché leur qualification au retour dans un Stade de France en fusion (3-0).

La Finlande est en revanche un moins bon souvenir pour avoir surpris la bande à Deschamps, qui avait aligné un onze remanié, en novembre (0-2). Face au Kazakhstan, plus faible nation du groupe, ce sera une grande première, les deux pays ne s’étant encore jamais affrontés, et il ne faudra pas prendre trop à la légère la Bosnie de Miralem Pjanic.

«Le risque est de se considérer plus fort que les autres. Même si on est plus fort sur le papier, il ne faudra pas moins en faire. Il faudra avoir la même concentration et la même détermination si l'on veut se qualifier», a déclaré Didier Deschamps, qui attend que ses joueurs fassent preuve «d'humilité et de respect envers ces équipes». Mais «l’objectif est clair : finir premier de notre groupe, a-t-il lancé. Il faut partir avec cette idée-là et de ne pas penser au reste.» Rendez-vous au mois de mars.

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